Le Gloupier, le glouton médiatique, jusqu’au fond
Entubons, entubons, ses larbins, ses troufions,
plantons les cuberdons au beau milieu de leur fion
Enduisons, enduisons l’indigeste limaçon
de goudron pour dalton et de duvet de pigeon
Coulons-le, coulons-le, le gloupier dans du béton
ou dans du purin wallon, qu’il fleure bon ce fanfaron
Bâillonnons, bâillonnons l’ultrabavard anarcon
devant qui, sachons-le, même bave le Sablon
Troquons-le, troquons-le ce cornichon
et si nous pouvons choisir, et bien contre un bidochon
Entamons, entamons ce sinistre reblochon
Mais que faire ? Il court tout seul. faisons une croix, cochons …
Regardez ce glouton, comme il tète au pinichon
de sa chère nounou Shobiz qui en fit un archicon
Ma face blême est blasphème
au ciel radieux qui donne un air
un air odieux aux gens heureux
Patraque et le corps détraqué
je troquerais bien les attaques
et les tracas d'un coeur traqué
pour toutes les contrées tranquilles
sans coup de trique ou de matraque
alors moi je dévisage plein d'ombrage
cet air niais des amoureux
alors j'invoque la grisaille
et que la pluie les accompagne
que la morosité les gagne
où qu'ils aillent qu'ils aient maille
maille à partir avec ma rage
la rage d'un lion en cage
Lave moi crachin de tout soupçon
de bonheur comme de raison
Cet air béat aux gens heureux
est une insulte à mon tumulte
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire