Un
homme du Nord pénètre dans le Music Store qui faisait florès il
y a quelques années encore à Brussel mais qu'en a plus pour très
longtemps aux dires de BFM.
Émile,
j'en imagine. Virgin : ni grive ni gamine. Je lime ...
Ouiii,
je sais, en y pénétrant, on déflorait Virgin ou Caroline sur le
paillasson, c'était chaque fois la même sensation de remettre son ouvrage sur
le métier, tatati, et tatata ...
Ce Monsieur recherche tous les paysages sonores insolites mais vrais, landes bucoliques au-dessus desquelles voleraient des oiseaux solitaires ou grégaires même pris de coliques, même pris de panique ou bien mélancoliques mais qui, condition nécessaire, s'expriment dans le patois de son enfance. Migrants plumés ... Voilà comment il vous estime.
Pourquoi patois ? Il ne sait pas mais il le sent dans ses délires à picole, en somme comme la baie du même nom entre Saint-Valery et le Crotoy, il cherche des oiseaux dans ces terres de Babil avicole, des emplumés qui parlent couramment sa langue natale et qui s'emmerdent en attendant qu'on leur tende une perche. La guitare du gitan ne parle-t-elle pas aussi le Flamenco ? Le souffle d'Hachem ne susurre-t-il pas le Yiddish ?
Yvan (plus pour longtemps) le
jeune préposé Caroline se
dirige d'un pas résigné (il ne ressignera pas, si ce n'est chez Actiris) vers le bac « folklore, landscapes et relaxation »
et en extrait le cd intitutlé « Happy parrots » avec en
4ème de boîtier un petit texte explicatif : Nieuwsbrief
dierentuin, Papegaaien en het dialect van Antwerpen. Il aura été au bout de sa quête ...
Il lui montre aussi le DVD "Pape gay from Anveres" : tympans tradis s'abstenir
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