Vais
-.je .Seigneur . me .faire en
cette.
n u i t... d'automne .i n o
culer.
par . u n . de . mes ennemis
le
.poison . de .l'ennui, . injecté
b
i e n . profond, . abruti étourdi
c
e ..serait . b i e n ..ma ..veine
qui p l u s est pénétré par sa
folie;
..vers. laquelle .tout. con
verge
. engourdie,. e n t r e Mes-
s
e s .Noires. et. Santeria, tu con
fesses, ahuries, et..comme. en sang
t
e s . faiblesses, tu te retrouves
sur.
le .sol, oh épilepsie et ma
Mère,
qu'y puis-je si ta terreur ha
bite éclatée là pas loin de l'Enfer
et
.ne . peut se dégager de l'Hadès
prisonnière de .c e s jeux pervers
Voilà ce qui reste :
Nicolas Graner a fait tellement mieux :
prisonnière de .c e s jeux pervers
Voilà ce qui reste :
Vais
-.je .Seigneur . me .faire en
culer.
par . u n . de . mes ennemis
b
i e n . profond, . abruti étourdi
qui p l u s est pénétré par sa
verge
. engourdie,. e n t r e Mes-
fesses, ahuries, et..comme. en sang
sur.
le .sol, o h épilepsie et ma
bite éclatée là pas loin de l'Enfer
prisonnière de .c e s jeux pervers
Tu .
é t a i s. m a petite puce, m a petite
voisine
. h é b e r g é e .chez moi. à. Mar
chienne,.et .tu .a i m a i s m e traiter de
vaillant..
Mittalo, ..je .bossais ...en .sa
lopette
en sueur bandant p l e i n d'ardeur
m
e s. muscles entraînés aux lourdes tâches
p
o u r .que. mes collègues pris de chaleur
puissent
.soulager .l e u r s .douleurs .et
partagent
l e s .plus exquises des gâteries
hors
temps .de. pauses, l e s viennoiseries,
offertes
p a r toi pour redonner des forces
Soulager
les prolos qui vont droit au casse-
pipes,
c o u p s. de grisous, p'tits bisous
hors
d u .contrôle .du. maudit contremaître
Voilà ce qui reste :
Voilà ce qui reste :
Tu
étais m a petite puce m a petite
chienne, et t u aimais me traiter de
lopette en sueur bandant plein d'ardeur
pour que mes collègues pris de chaleur
partagent les plus exquises des gâteries
offertes par toi pour redonner des forces
pipes, coups de grisous, p'tits bisous
chienne, et t u aimais me traiter de
lopette en sueur bandant plein d'ardeur
pour que mes collègues pris de chaleur
partagent les plus exquises des gâteries
offertes par toi pour redonner des forces
pipes, coups de grisous, p'tits bisous
Nicolas Graner a fait tellement mieux :
Je ne sais comment vous le dire, mais j'ai bien ressenti hier, au bal, que vous aviez toujours un aussi grand plaisir à me faire danser. Je garde le souvenir de ce délicat baiser et je voudrais que ce soit toujours pour moi une raison d'espérer d'être aimée par vous. Je suis prête à vous montrer mon affection toute désintéressée et sans cal- cul, et vous pourriez sans crainte me voir dévoiler à vos yeux, en confiance, mon âme toute nue si vous veniez me rendre visite. Je vous en prie, venez chez moi, cher ami. Je pourrai me montrer face à vous la femme sincère, qui saura vous offrir l'affection la plus profonde, et aussi la plus étroite amitié, à coup sûr la plus tendre compagne que vous puissiez souhaiter, puisque votre âme est libre. Hélas, la solitude oú j'ha- bite est bien longue, bien dure et souvent triste. De vous en parler je sens ma peine enflée. Accourez donc au plus vite pour me fortifier par vos discours dont je veux me pénétrer tout entière.
Voilà ce qui reste :
Je ne sais comment vous le dire, mais j'ai toujours un aussi grand plaisir à me faire baiser et je voudrais que ce soit toujours par vous. Je suis prête à vous montrer mon cul, et vous pourriez sans crainte me voir toute nue si vous veniez me rendre visite. Je pourrai me montrer face à vous la femme la plus profonde, et aussi la plus étroite que vous puissiez souhaiter, puisque votre bite est bien longue, bien dure et souvent enflée. Accourez donc au plus vite pour me pénétrer tout entière.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire