9.2.13

Texte : ne lisez surtout qu'une phrase sur deux

Vais -.je .Seigneur . me .faire  en
cette. n u i t... d'automne  .i n o
culer. par . u n . de . mes ennemis
le .poison . de .l'ennui, . injecté
b i e n . profond, . abruti étourdi
c e ..serait . b i e n ..ma ..veine
qui  p l u s  est   pénétré  par sa
folie; ..vers.  laquelle .tout. con
verge . engourdie,. e n t r e  Mes-
s e s .Noires. et. Santeria, tu con
fesses, ahuries, et..comme. en sang
t e s . faiblesses, tu te retrouves
sur. le .sol,  oh   épilepsie et ma
Mère, qu'y puis-je si ta terreur ha
bite éclatée là pas loin de l'Enfer
et .ne . peut se dégager de l'Hadès
prisonnière de .c e s  jeux pervers

Voilà ce qui reste : 

Vais -.je .Seigneur . me .faire  en
culer. par . u n . de . mes ennemis
b i e n . profond, . abruti étourdi
qui  p l u s  est   pénétré  par sa
verge . engourdie,. e n t r e  Mes-
fesses, ahuries, et..comme. en sang
sur. le .sol,  o h  épilepsie et ma
bite éclatée là pas loin de l'Enfer
prisonnière de .c e s  jeux pervers



Tu . é t a i s. m a petite puce, m a petite
voisine . h é b e r g é e .chez moi. à. Mar
chienne,.et .tu .a i m a i s m e traiter de
vaillant.. Mittalo, ..je .bossais ...en .sa
lopette en sueur bandant p l e i n d'ardeur
m e s. muscles entraînés aux lourdes tâches
p o u r .que. mes collègues pris de chaleur
puissent .soulager .l e u r s .douleurs .et
partagent l e s .plus exquises des gâteries
hors temps .de. pauses, l e s viennoiseries,
offertes p a r toi pour redonner des forces
Soulager les prolos qui vont droit au casse-
pipes, c o u p s. de grisous, p'tits bisous
hors d u .contrôle .du. maudit contremaître


Voilà ce qui reste :  

Tu  étais  m a  petite  puce  m a  petite
chienne,  et  t u  aimais  me traiter  de
lopette en  sueur bandant plein  d'ardeur
pour que  mes  collègues  pris de chaleur
partagent les plus  exquises des gâteries
offertes par toi pour redonner des forces
pipes, coups  de  grisous, p'tits  bisous


Nicolas Graner a fait tellement mieux : 
Je ne sais comment vous le dire, mais j'ai
bien ressenti hier, au bal, que vous aviez
toujours un aussi grand plaisir à me faire
danser. Je garde le souvenir de ce délicat
baiser et je voudrais que ce soit toujours
pour moi une raison d'espérer d'être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et vous pourriez sans crainte me voir
dévoiler à vos yeux, en confiance, mon âme
toute nue si vous veniez me rendre visite.
Je vous en prie, venez chez moi, cher ami.
Je pourrai me montrer face à vous la femme
sincère, qui saura vous offrir l'affection
la plus profonde, et aussi la plus étroite
amitié, à coup sûr la plus tendre compagne
que vous puissiez souhaiter, puisque votre
âme est libre. Hélas, la solitude oú j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
triste. De vous en parler je sens ma peine
enflée. Accourez donc au plus vite pour me
fortifier par vos discours dont je veux me
pénétrer tout entière. 
 
Voilà ce qui reste :  
Je ne sais comment vous le dire, mais j'ai
toujours un aussi grand plaisir à me faire
baiser et je voudrais que ce soit toujours
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
cul, et vous pourriez sans crainte me voir
toute nue si vous veniez me rendre visite.
Je pourrai me montrer face à vous la femme
la plus profonde, et aussi la plus étroite
que vous puissiez souhaiter, puisque votre
bite est bien longue, bien dure et souvent
enflée. Accourez donc au plus vite pour me
pénétrer tout entière. 

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